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[Repéré sur Lefigaro.fr]
La lutte contre la pauvreté et le réchauffement de la planète font partie du même combat. Conçus ensemble, ces deux enjeux peuvent s'avérer plus efficaces. À trois semaines de l'ouverture, à Paris, de la COP 21, la Banque mondiale alerte dans un nouveau rapport sur les conséquences du changement climatique sur les plus vulnérables. Si rien n'est fait, 100 millions de personnes risquent de tomber sous le seuil de pauvreté à horizon 2030.
"Les événements liés au climat, à la météo, sont déjà des obstacles à la réduction de la pauvreté et cela va empirer", insiste l'un des auteurs, Stéphane Hallegatte. Les populations subissent des pertes de récoltes, la flambée des prix des matières premières et l'augmentation des maladies, notamment la malaria et les diarrhées qui sont provoqué par des chocs climatiques (inondations, tempêtes, sécheresses…).
Le rapport montre - statistiques à l'appui basées sur des questionnaires réalisés dans 92 pays d'Afrique, Amérique et Asie - que ces chocs impactent davantage les populations les plus pauvres.
Lire la suite de l'article.
La lutte contre la pauvreté et le réchauffement de la planète font partie du même combat. Conçus ensemble, ces deux enjeux peuvent s'avérer plus efficaces. À trois semaines de l'ouverture, à Paris, de la COP 21, la Banque mondiale alerte dans un nouveau rapport sur les conséquences du changement climatique sur les plus vulnérables. Si rien n'est fait, 100 millions de personnes risquent de tomber sous le seuil de pauvreté à horizon 2030.
"Les événements liés au climat, à la météo, sont déjà des obstacles à la réduction de la pauvreté et cela va empirer", insiste l'un des auteurs, Stéphane Hallegatte. Les populations subissent des pertes de récoltes, la flambée des prix des matières premières et l'augmentation des maladies, notamment la malaria et les diarrhées qui sont provoqué par des chocs climatiques (inondations, tempêtes, sécheresses…).
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