
Ils viennent de Syrie, du Congo, d’Éthiopie… Et vont disputer la 122e édition des Jeux Olympiques à Rio. (Crédit : UNHCR/Benjamin Loyseau)
Ils viennent de Syrie, du Congo, d’Éthiopie… Et vont disputer la 122e édition des Jeux Olympiques à Rio, dès ce vendredi 5 août. Pour la première fois, cet événement sportif majeur accueillera une équipe de réfugiés. Une délégation soutenue et lancée par l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) en partenariat avec le Comité international olympique (CIO).
"Dix jeunes hommes et jeunes femmes qui ont fui leur pays à la recherche de protection, dix athlètes talentueux qui n’ont jamais baissé les bras", comme les décrit le site du HCR , vont représenter les 65,3 millions de réfugiés que compte le monde (selon les dernières estimations de l'agence).
"Dix jeunes hommes et jeunes femmes qui ont fui leur pays à la recherche de protection, dix athlètes talentueux qui n’ont jamais baissé les bras", comme les décrit le site du HCR , vont représenter les 65,3 millions de réfugiés que compte le monde (selon les dernières estimations de l'agence).
Nageurs, coureurs, judokas...
Sous la bannière des Nations unies, deux nageurs de Syrie, deux judokas de la République démocratique du Congo (RDC), un marathonien d'Éthiopie et cinq coureurs de demi-fond du Soudan du Sud vont affronter les compétitions. Et ce, peut-être, jusqu’à la fin des Jeux, le 21 août prochain.
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