
(crédit : flickr)
Le grand public devra patienter au moins un an avant de les porter, a déclaré cette semaine à la BBC le patron de Google, Eric Schmidt. Mais déjà, on apprend que les lunettes à réalité augmentée du géant californien, décrites comme l'une des prochaines révolutions technologiques, seront bannies dans certains lieux. En cause : les hautes et discrètes performances des Google Glass, qui embarquent une caméra, un micro, une connexion Internet et à travers lesquels ont peut interagir comme devant un PC.
Des clubs de strip tease et des casinos de Las Vegas ont déjà pris position. Selon NBC News, les responsables de certains de ces établissements refuseront le port de ces lunettes en leurs murs, afin d'éviter toute capatation vidéo indésirable et au poker, la triche. Voyant là un nouveau moyen de piratage, des cinémas envisagent aussi d'interdire leur usage dans les salles. « Ce type d’appareils va soulever de nombreuses problématiques », a affirmé Eric Schmidt à la BBC. Et de reconnaître : « Il ne sera évidemment pas approprié de porter ces lunettes dans des situations indécentes d’enregistrement. Nous avons déjà ce genre de problème avec les téléphones. »
En Virginie-Occidentale, des députés ont quant à eux rédigé une proposition de loi sanctionnant l’usage des Google Glass en voiture par une amende de 1 500 dollars. Ces dernières pourraient en effet perturber l'attention des conducteurs, à la manière de ce que provoque déjà l'écriture de sms au volant. Un avant goût des débats sécuritaires, économiques et éthiques que promettent d'alimenter les lunettes Google, aujourd'hui en la possession d'une poignée de développeurs.
Des clubs de strip tease et des casinos de Las Vegas ont déjà pris position. Selon NBC News, les responsables de certains de ces établissements refuseront le port de ces lunettes en leurs murs, afin d'éviter toute capatation vidéo indésirable et au poker, la triche. Voyant là un nouveau moyen de piratage, des cinémas envisagent aussi d'interdire leur usage dans les salles. « Ce type d’appareils va soulever de nombreuses problématiques », a affirmé Eric Schmidt à la BBC. Et de reconnaître : « Il ne sera évidemment pas approprié de porter ces lunettes dans des situations indécentes d’enregistrement. Nous avons déjà ce genre de problème avec les téléphones. »
En Virginie-Occidentale, des députés ont quant à eux rédigé une proposition de loi sanctionnant l’usage des Google Glass en voiture par une amende de 1 500 dollars. Ces dernières pourraient en effet perturber l'attention des conducteurs, à la manière de ce que provoque déjà l'écriture de sms au volant. Un avant goût des débats sécuritaires, économiques et éthiques que promettent d'alimenter les lunettes Google, aujourd'hui en la possession d'une poignée de développeurs.
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