Une Volvo à « batterie structurelle »
Partager la publication "En lançant leur coopérative éphémère, ces jeunes créent leur propre job d’été"
« Ils proposeront leurs services à la population et aux acteurs du territoire, prendront des décisions collectivement, définiront leur stratégie commerciale, géreront l’entreprise. Ils vont démarcher et faire des devis, s’organiser en comités de ressources humaines, comptabilité, finances, marketing… » détaille Mathieu à Ouest France, animateur cet été à Angers.
Gouvernance partagée et compétences acquises
« Ils gagnent en aisance tant à l’oral qu’à l’écrit, développent leur sens du relationnel et leur esprit d’équipe, précise Prisca Liotard, chargé de mission à Coopérer pour Entreprendre. C’est une expérience très valorisante sur le CV. Ils rencontrent des personnes différentes, adoptent une autre posture et un autre discours. »
Une rémunération nette moyenne de 225 euros sur 2 mois
« Pour ne pas créer de désillusion on explique bien en amont aux coopérants que cette expérience ne remplacera pas un salaire de job d’été, explique Prisca Liotard. Il faut voir cette somme comme de l’argent de poche. Les CJS sont des projets éducatifs avant tout », conclut-elle.
Le phytoplancton va-t-il s'adapter au changement climatique ? POur tenter de répondre à cette question, des…
Le célèbre pianiste parcourt le monde pour "démocratiser" la musique avec son ONG, 88 International.…
Selon une récente étude, les zones climatiques connues aujourd'hui vont beaucoup changer dans les prochaines…
C'est un fait : en moyenne, les entreprises familiales polluent systématiquement moins que les entreprises non…
Pour comptabiliser la part du nucléaire dans l'approvisionnement énergétique français, les méthodes divergent. Explications.
Changer la gouvernance territoriale, renoncer aux grands projets, envisager des crises majeures dues à la…