Partager la publication "L’État veut une solution alternative aux géants américains du web"
Le gouvernement n’a pas perdu espoir de créer des alternatives à Microsoft et à Google. Manuel Valls a attribué, le 8 avril dernier, un financement de 10,7 millions d’euros, puisés dans les investissements d’avenir, à un programme de recherche destiné à faire émerger « une nouvelle génération de plate-forme logicielle en ‘open source' ».
En charge du projet : la société française Linagora, spécialisée dans le logiciel libre. « Ce programme sera développé dans le cadre d’un consortium associant les laboratoires de Polytechnique et de l’Inria et deux PME, Nexedi et XWiki », explique le fondateur de Linagora, Alexandre Zapolsky.
L’idée : « Créer le bureau virtuel du futur [afin] d’assurer une offre française indépendante dans un domaine dominé par les acteurs américains (Microsoft Office et Google Docs) », dit la lettre du Premier ministre. Il s’agit donc de développer une suite bureautique française en ligne, telle qu’Office 365 de Microsoft, où l’utilisateur accède directement sur le Web à partir d’une interface unifiée à un ensemble d’outils (boîte mail, tableur, traitement de texte, messagerie instantanée, etc.).
Face à l'essor de l'intelligence artificielle et son appétit énergétique grandissant, EnCharge AI propose une…
C’est un véritable plan Marshall de la formation qui sera lancé en avril. Avec l’objectif…
Optimiser le recyclage des vêtements et accessoires en cuir, tel est l’objectif du Cetia, plateforme…
Il a cofondé B Lab, la maison-mère du mouvement B Corp, il y a 17…
Même animée des fortes convictions de ses 120 associés (elle est organisée en Société coopérative…
Selon le rapport annuel de iQAir, seulement sept pays dans le monde respectaient la directive…