Partager la publication "Ils ont vécu dans une tiny house 100 % low-tech : le bilan"
Le cycle de vie des low-tech
Côté impact environnemental, ils ont notamment analysé « le cycle de vie » des produits testés, c’est à dire la quantité de gaz à effet de serre émise de leur construction jusqu’à leur fin de vie. Ils ont ainsi validé l’intérêt d’un poêle à bois par rapport au chauffage électrique par exemple. En revanche, la marmite norvégienne, censée économiser du gaz de cuisson, s’est révélée peu intéressante, explique Pierre-Alain Lévêque.
Ils ont aussi comparé le coût et la rentabilité des low-tech par rapport aux systèmes conventionnels. Le duo avait un doute sur celle des toilettes sèches, mais du fait des grandes quantité d’eau économisées, ils estiment qu’elles sont rentables en un an et demi. Le garde-manger leur a également permis de faire de bonnes économies d’électricité.
Une sobriété heureuse
Ce mode de vie, concluent-ils, permet de reprendre le contrôle sur ses dépenses, et donc sur sa vie, de se libérer du temps, de gagner du confort mental.
« Il est possible de mieux vivre, en réduisant notre impact environnemental », conclut l’un des deux colocataires.
Les deux ingénieurs ont maintenant légué leur maisonnette à Romane, du Low-tech Lab, qui va partir en tournée pour sensibiliser à la démarche low-tech et faire connaître l’utilisation de ces technologies à travers la France.
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