Partager la publication "Comment la Chine a subitement dit adieu au scooter à essence"
Face à la hausse inédite des taux de pollution de l’air dans ses villes, le pays a lancé dès 2009 un plan ambitieux de développement du véhicule électrique.
D’abord testé dans 10 villes, ce projet s’est étendu à 25 autres par la suite. Treize milliards d’équivalent euros ont été dédié à cette politique de transport.
Des aides conséquentes ont notamment permis à tout un chacun d’investir dans l’électrique. Dans le même temps, plusieurs dizaines de villes chinoises ont décidé de limiter, voire supprimer les licences accordées aux conducteurs de deux-roues à essence.
L’industrie a suivi
Même les entreprises étrangères ont flairé le filon. Dès 2010, Vespa a fait fureur à Shanghai et Peugeot a ouvert un point de vente à Nanjing. À cela s’ajoute le faible coût d’un scooter en Chine (300 à 600 euros).
Développer l’infrastructure
Reste un obstacle au développement de la mobilité décarbonée en Chine : une infrastructure encore trop limitée. La Chine ne posséderait pas assez de points d’alimentation.
Certains expatriés évoquent des solutions « système D » telles que demander à son gardien de se brancher en passant par sa fenêtre contre quelques repas ou coups de main. Pour éviter ce genre de problème, 6 000 bornes ont été promises par le gouvernement d’ici fin 2015.
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