Partager la publication "L’échappée Sciences : sur The Conversation, la science infuse"
Des podcasts sérieux, sans se prendre au sérieux. Depuis un mois, le site The Conversation propose tous les quinze jours « L’échappée Sciences », un rendez-vous à écouter sur la plateforme de podcasts de Ouest-France (mais aussi sur Spotify, Apple Podcasts, Deezer, etc.). On y retrouve des sujets aux angles originaux autour de trois thématiques principales : les sciences, l’environnement et la santé.
« Ce podcast est volontairement pluridisciplinaire et est réalisé par cinq journalistes qui donnent aussi la parole à des spécialistes afin de couvrir des sujets de façon ludique et surprenante mais toujours en partant de faits validés par les sciences », explique Jennifer Gallé, qui coordonne le projet au sein de la rédaction. Chaque podcast, de quinze à vingt minutes, est l’occasion d’échanger avec des spécialistes dans leur domaine. Une interview suivie d’une chronique en rebond.
La science accessible et qui ne se prend pas (trop) au sérieux
Après un focus sur la seiche et le poulpe (spoiler : la seiche est plus maline que son compatriote), le podcast s’est penché sur la manière dont les scientifiques cherchent de la vie dans l’espace. Pour cela, ils ont interrogé Christian Mustin, thématicien au CNES pour l’exobiologie, les exoplanètes et la protection planétaire. Pour le prochain épisode, à paraître ce jeudi 30 mars, le podcast se focalise sur « Comment les parasites manipulent leurs hôtes », avec la participation de Pascal Boireau (Anses).
Des sujets variés, un peu décalés et qui viennent aborder de manière transversale les thématique de The Conversation. « C’est une autre manière de travailler au sein de la rédaction et le fait que la podcast soit diffusé sur la plateforme de Ouest-France oblige à s’assurer que le contenu sera accessible au grand public. Mais cela permet aussi de donner un écho très large à nos contenus », souligne Jennifer Gallé.
De nouveaux épisodes de l’Échappée Sciences seront diffusés chaque quinzaine jusqu’au début du mois de juillet.
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